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Les foulures / entorses : les soigner par l’étiopathie

Qui parmi nous ne s’est jamais fait d’entorse ou de foulure ? Peut-être êtes vous-même sujet à des entorses à répétition… Saviez-vous que l’entorse et la foulure sont deux atteintes différentes ?

Quels sont les gestes à entreprendre à la suite de ces traumatismes ?

Et surtout, comment l’étiopathie peut-elle agir efficacement sur ces deux pathologies ?

QU’EST-CE QU’UNE FOULURE ?

La foulure se traduit par une douleur à la mobilisation de l’articulation en question.

À la suite d’un traumatisme, lors de votre séance de course à pied par exemple, vous vous « tordez la cheville ». Cette torsion peut être tellement extrême, que les ligaments qui entourent et maintiennent votre articulation s’en trouvent étirés d’un coup sec et violent. Ce sont eux qui entraînent vos douleurs.

QU’EST-CE QU’UNE ENTORSE ?

Une entorse se traduit également par une douleur à la mobilisation de l’articulation en question.

Mais, on retrouve aussi, une réelle diminution des mouvements permis par celle-ci : elle est « bloquée ».

À la suite d’un accident similaire à celui cité ci-dessus, les ligaments sont étirés plus ou moins violemment, mais pas seulement. L’articulation elle-même s’est « déplacée ». Ce déplacement est rarement visible à la radio. Mais c’est lui qui entraîne vos symptômes.

ALORS, FOULURE OU ENTORSE ?

Telle est la question !

La foulure est un étirement ligamentaire brusque et douloureux. L’entorse, quant à elle, est un léger déplacement, « blocage », articulaire.

C’est cette différence qui explique que vous récupériez plus vite suite à une foulure.

En effet, l’inflammation ligamentaire provoquée par l’étirement de ceux-ci, s’estompera avec le temps, contrairement au déplacement articulaire retrouvé lors d’une entorse. Ce « blocage » ne peut pas « se remettre tout seul ».

Si l’articulation ne retrouve pas son état, son axe physiologique (donc naturel), une instabilité persiste.

Elle explique que vous enchaîniez les traumatismes au niveau de l’articulation touchée. Elle reste fragile, elle ne peut pas récupérer complètement.

QUE FAIRE OU NE PAS FAIRE JUSTE APRÈS LE TRAUMATISME ?

Il faut agir le plus vite possible. les vingt premières minutes sont optimales.

Concernant l’œdème, c’est-à-dire, le gonflement autour de l’articulation, vous pouvez pratiquer la technique du « chaud-froid ». Elle permet d’atténuer cet œdème.

Appliquez du froid pendant 8 minutes. Puis enlevez le froid pendant 3 minutes. Répétez cette opération 3 fois, et laissez agir.

Gardez votre articulation mobile !

Il ne faut surtout pas la plâtrer, l’immobiliser.

En continuant de la mobiliser, vous maintenez un apport sanguin adéquat qui favorise la récupération et la cicatrisation des tissus touchés.

QUE FAIT L’ÉTIOPATHIE ?

Par des techniques manuelles non-douloureuses, l’étiopathe agira sur le blocage articulaire et sur les paramètres vasculaires et nerveux permettant aux tissus de récupérer rapidement.

Supprimant ainsi, avec efficacité, les symptômes qui en découlent, et diminuant fortement le risque de récidive.

EN COMBIEN DE SÉANCES ?

Il est très spécifique et dépend de chaque patient, de ses antécédents, de l’ancienneté de son trouble, etc…

On compte entre 1 et 3 séances.

Un rendez-vous dans la région Grenobloise ?